Les trois grands piliers thérapeutiques du syndrome de Rasmussen sont :
les traitements antiépileptiques, sans efficacité démontrée d’une molécule par rapport à une autre ;
les immunothérapies, pour limiter la progression de la maladie ;
la chirurgie, par hémisphérotomie dans le cadre de la forme précoce rapide, ou par résection focale, notamment dans la forme à début tardif progressive.