Des spécialistes étudiant les glioblastomes ont identifié une survie globale médiane plus longue dans certains sous-groupes de patients, semblable au « paradoxe hispanique » observé dans les cancers bronchiques et gynécologiques.
Des spécialistes étudiant les glioblastomes ont identifié une survie globale médiane plus longue dans certains sous-groupes de patients, semblable au « paradoxe hispanique » observé dans les cancers bronchiques et gynécologiques.