À retenir
Cette étude démontre que l’exposition potentielle du lait maternel à l’interféron bêta (IFN-β) ou à l’acétate de glatiramère (AG) n’augmente pas le risque d’événements indésirables chez les nourrissons. Ainsi, les femmes atteintes de sclérose en plaques (SEP) prenant de l’INF-β ou de l’AG après l’accouchement peuvent être encouragées à allaiter, en raison des résultats positifs pour la santé associés à l’allaitement.
Pourquoi est-ce important
Les mères allaitantes atteintes de SEP sont préoccupées par l’exposition du lait maternel aux traitements modificateurs de la maladie (TMM) et par les risques potentiels pour la santé de leur enfant.
À l’heure actuelle, les données concernant l’allaitement pendant la prise de TMM sont limitées.