L’application de l’apprentissage automatique à l’IRM fonctionnelle (IRMf) classe avec précision les patients atteints de sclérose en plaques (SEP) par phénotype clinique, déclarent les chercheurs.
« L’analyse théorique du graphique aide à faire la lumière sur la réorganisation fonctionnelle du cerveau dans la SEP » selon le Dr Maria Assunta Rocca de l’Université Vita-Salute San Raffaaele à Milan, en Italie.
« Ici, nous avons développé des méthodes avancées d’apprentissage automatique pour analyser les données de connectivité fonctionnelle à l’état de repos (CF-ER) et classer les patients atteints de SEP en fonction du phénotype de leur maladie. »