L’imagerie par résonance magnétique (IRM) pourrait améliorer le diagnostic différentiel entre l’atrophie multisystématisée (AMS), la paralysie supranucléaire progressive (PSP) et la maladie de Parkinson (MP), comme l’a observé une nouvelle étude.

L’imagerie par résonance magnétique (IRM) pourrait améliorer le diagnostic différentiel entre l’atrophie multisystématisée (AMS), la paralysie supranucléaire progressive (PSP) et la maladie de Parkinson (MP), comme l’a observé une nouvelle étude.