Le risque de crises non épileptiques psychogènes a augmenté après un traumatisme dû à une agression sexuelle et un AVC

De nouveaux résultats présentés lors de la conférence de l’AES 2020 laissent envisager que le traumatisme dû à une agression sexuelle et l’accident vasculaire cérébral (AVC) sont significativement associés aux crises non épileptiques psychogènes (CNEP).

Les CNEP sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes et se caractérisent par des épisodes paroxystiques cliniquement similaires aux crises épileptiques, mais sans la signalisation électrique cérébrale aberrante observée dans l’épilepsie. On pense qu’elles sont principalement liées à des facteurs psychologiques comme le stress ou la détresse.